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Inventaire et diagnostic simplifié des décharges brutes
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doc décharges à télécharger
La loi du 13 juillet 1992 a défini le cadre d'une
rénovation de la gestion des déchets.
Jusqu'à une période encore récente, une grande partie de nos déchets
(ordures ménagères, encombrants [gros électroménager, vieux meubles, éléments de carosserie, pneus, batteries,
fûts et conteneurs divers, etc.], déchets végétaux, déchets industriels banals
[dont les gravats de démolition] ...) finissaient
sans tri
dans des
décharges brutes.
Ces lieux de dépôts étaient souvent non autorisés au sens réglementaire du terme.
Ils peuvent encore être la source de pollutions des eaux souterraines et superficielles,
ils entrainent des nuisances visuelles et olfactives et des atteintes à l'environnement
(dégradation des paysages, prolifération de rats, envols de sacs plastiques et autres déchets légers,
odeurs nauséabondes, pollution des nappes phréatiques...). La décomposition bactérienne des
déchets putrescibles engendre la production de biogaz et de lixiviats.
L'accumulation des biogaz (dont le méthane) au sein du massif de déchets présente sous certaines conditions
un risque d'explosion et de feux spontanés.
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Dans ce contexte, la réalisation d'un inventaire avec pré-diagnostic de ces décharges à l'échelle intercommunale ou à l'échelle départementale s'avère nécessaire. Cet inventaire consiste à :
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DIASTRATA réalise intégralement cet inventaire en suivant les recommandations et méthodologie de l'ADEME. DIASTRATA a déjà réalisé :
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Réhabilitation de décharges communales
Consultez aussi la page
décharges
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Une décharge, même fermée, engendre un ensemble de nuisances (mauvaises odeurs,
envols de déchets, présence d'animaux nuisibles, incendies, dégradation du paysage, ...).
Une décharge représente aussi un ensemble de risques :
La réhabilitation d'une décharge, ce n'est donc pas seulement un effacement de nuisances visuelles et olfactives. C'est en premier lieu de supprimer les impacts que le massif de déchets peut avoir sur les milieux (eaux souterraines et superficielles, air) et les risques qui en découlent. La réhabilitation doit donc se placer à la suite d'une étude des impacts potentiels qui va conduire à définir les travaux et matériaux à mettre en oeuvre : nettoyage, remodelage de forme, pose de géotextiles ou apports d'argile, etc. avec étude comparée des coûts selon les scenari envisagés. |
Exemple de réhabilitation |
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